Il faut arrêter de croire qu’on réglera les problèmes en remettant en cause systématiquement les droits des populations. La situation de Mayotte et de l’ensemble de l’archipel des Comores, mérite d’une part que la France reconnaisse le droit international et accepte d’engager un processus de travail inscrit dans le temps à partir des recommandations de l’ONU.